2 octobre, 7h14 : arrivée en gare de Moscou.

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Après une nuit à se faire tamiser sur notre couchette, on se remet les idées en place, le sac sur le dos et on se lance ! Enfin on essaie parce que c’est pas évident : notre objectif est de rejoindre l’auberge, mais pour ça il faut prendre le métro, et là… On trouve un plan mais tout est écrit en cyrillique (contrairement à St Petersbourg où presque tout était transcrit dans notre alphabet; heureusement que Sam a quelques souvenirs de ses cours de fac !), on essaie de demander mais personne ne parle anglais. Finalement on s’en sort et on atteind notre station, mais on est pas encore arrivés, il nous faudra encore tourner une bonne 1/2 heure pour trouver l’auberge parce que les Russes ont eu la bonne idée de planquer certains numéros de rue dans des cours accessibles depuis des rues adjacentes.
Une petite pause, une douche et hop, c’est parti ! (spéciale dédicace à Mappy)

On part un peu à l’aveuglette avec juste un plan approximatif sur la tablette, en direction du centre . En chemin on croise le théâtre Bolchoï, et de là on aperçoit quelques bâtiments de briques rouges… On approche, on passe une petite porte et Bam ! on y est : le Kremlin, la cathédrale Basile-le-bien-heureux, le soleil : la place rouge.

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Par la suite, on a eu la chance de faire la connaissance de 2 moscovites via le site de couchsurfing, Nina et Evgeny, qui nous ont baladé à travers la ville. Au-delà de la visite touristique, cela nous a permis de rafraîchir nos souvenirs d’histoire sur la période soviétique puis la perestroïka et d’en apprendre un peu plus sur la Russie d’aujourd’hui.
Finalement à part l’architecture, quelques monuments conservés intacts et encore estampillés CCCP et les trolleybus, rien ne subsiste de cette période. La Russie, du moins ce qu’on en a vu pour l’instant, est passé d’un extrême à l’autre, une sorte d’Occident en cyrillique.

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